ESHET CHAYIL |
Une femme vaillante | Eshet Chayil | |
Une femme vaillante
Là-bas, loin dans la forêt, un vieux chêne se dresse A côté de lui, un partisan est allongé dans l’herbe, Il est allongé, immobile, de nouveau, il ne dort pas, Le vent dispersera ses boucles d’or. Là-bas, au loin, dans sa maison, une femme pleure, Avec des larmes d’angoisse, elle murmure, malheureuse. Je t’ai élevé mon fils et je t’ai gardé de tout mal Seule une balle de plomb t’as blessé, mon fils. Qui l’eût cru et qui l’eût dit Qu’une telle chose m’arriverait, que diable ! Il était une fois une femme, une femme vaillante, Elle a fui loin de moi, dans le silence de la nuit, Elle a pris avec elle mon jeune fils, Mon fils mon trésor, Jonathan. Qui l’eût cru et qui l’eût dit Qu’une telle chose m’arriverait, que diable ! |
Eshet Chayil
Sham harchek baya'ar alon atik nitzav ulyado badeshe hapartizan shachav Vehu shachav bli no'a shuv eino nirdam taltaley zahav lo ru'ach tefazrem Sham harchek babayit ima homiya bidma'ot shel tza'ar locheshet umlala Otcha beni gidalti shamarti mikol ra ach kadur oferet becha beni paga Mi pilel pilel umi milel milel shekazot ikreni la'azazel. Hayo hayta li isha eshet chayil barcha mimeni bidmi halayil Lakcha ita et beni hakatan et beni machmadi Yehonatan Mi pilel pilel umi milel milel shekazot ikreni la'azazel. | |
Texte et Musique : Medina Avihu - Chorégraphie : Gabay Victor - 1999. |